« Chefs d’œuvre du fantastique, de E. T. A. Hoffmann à Stephen King », réunis par Jacques Goimard
Plein de bonne volonté et de désir de m’instruire, je reprends cet omnibus, de la page 337 à 560.
On commence par un classsique, Le Horla de Guy de Maupassant dont je ne me souvenais pas, ni de l’histoire tout en non-dit, ni du style que je pensais plus simple. Et c’est un peu pareil pour le suivant Comment l’amour s’imposa au Professeur Guildea de Robert Hichens. Lokis de Prosper Mérimée,un peu plus explicite est déjà plus intéressant. Un ours-garou, quand même ! Le Olalla de Robert-Louis Stevenson m’a déçu pour un Stevenson.
Et boum ! Juste derrière c’est de l’horreur pure avec Le radeau de Stephen King. Vraiment très explicite.Après les précédents textes, c’est violent.
Puis c’est le meilleur de cette série, Père et fille de Thomas Owen, un juste équilibre entre une écriture soignée et une histoire fantastique. Ça m’a donné envie de chercher les Owen dans ma bibal.